🏗️ La Réingénierie Institutionnelle Djimbiliste : Scénario d
🏗️ La Réingénierie Institutionnelle Djimbiliste : Scénario d'un État Agile et Autonome
Le Djimbilisme, en tant que doctrine de transformation radicale, ne se contente pas de prôner l'autonomie ; il exige une réingénierie institutionnelle complète, visant à remplacer les structures héritées (souvent inefficaces et corrompues) par un État transparent, efficace et technologiquement avancé.
Voici un scénario détaillé, professionnel et académique, illustrant la mise en œuvre d'un tel projet dans un État africain hypothétique adhérant aux principes de Victor Djimbila Kazadi.
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Phase 1 : L'Ancrage Idéologique et la Rupture (Année 1)
1. Déclaration de Souveraineté Institutionnelle
Le nouveau gouvernement (inspiré par le Djimbilisme) émet une déclaration solennelle : l'arrêt immédiat et définitif de toute aide conditionnée et le rejet des modèles institutionnels exogènes (ex : constitution et systèmes juridiques calqués sur ceux des anciennes puissances coloniales).
Principe Djimbiliste : Indépendance réelle de l'Afrique et recours exclusif aux ressources endogènes.
2. Création de la « Commission de Réingénierie » (CR)
• Objectif : Conception d'un nouveau modèle d'État (la "Djimbila-Structure"), axé sur la fonctionnalité, la transparence et la simplicité administrative.
• Composition : Experts locaux (technologues, juristes, philosophes, sociologues) travaillant exclusivement sur la base des réalités et des besoins africains, sans référence obligatoire aux modèles étrangers. [Image d'une équipe multidisciplinaire africaine travaillant sur des schémas d'organisation étatique]
3. Audit et Décentralisation des Ressources
Un audit technologique et financier complet est lancé pour identifier les goulots d'étranglement de l'État hérité. Les ressources locales (humaines et naturelles) sont cartographiées pour financer l'intégralité du projet de réingénierie, garantissant l'autonomie financière du processus.
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Phase 2 : Le Cœur de la Réingénierie Technologique (Années 2-3)
Cette phase est la plus disruptive, car elle remplace les systèmes administratifs lourds par des plateformes numériques agiles.
1. Le Système d'Identification Unique et Mobile (SIUM)
• Mise en place : Création d'une identité numérique sécurisée pour chaque citoyen, accessible principalement via téléphone mobile (étant donné le taux de pénétration élevé du mobile en Afrique).
• Fonctionnalités : Cette identité devient la clé d'accès à tous les services étatiques (vote, santé, éducation, fiscalité).
Principe Djimbiliste : Utilisation des technologies mobiles pour adapter les institutions aux réalités locales et accroître l'efficacité.
2. Remplacement de la Bureaucratie par l'Automatisation
• Gestion Fiscale Numérique : Lancement d'une plateforme fiscale mobile, où les impôts (simplifiés) sont payés et suivis en temps réel. Cette traçabilité totale des recettes élimine les caisses noires et la corruption dans la collecte.
• Administration Sans Papier : Tous les services (permis, certificats, enregistrement d'entreprises) sont numérisés et automatisés via le SIUM, supprimant de multiples échelons administratifs inefficaces.
3. Création du « Parlement Numérique Consultatif » (PNC)
• Innovation Politique : En complément du Parlement classique, le PNC utilise le SIUM pour permettre des consultations citoyennes directes et à grande échelle sur des lois clés.
• Objectif : Renforcer la transparence et l'imputabilité (reddition de comptes) des élus.
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Phase 3 : Consolidation et Expansion Intra-Africaine (Années 4 et au-delà)
L'État réingéniéré devient un modèle et un moteur pour la coopération panafricaine effective.
1. L'État Agile et Transparent
Le nouveau système permet d'évaluer la performance des services publics en temps réel. Les citoyens peuvent noter les services (santé, sécurité, justice) via le SIUM, forçant l'État à être réactif et performant.
Résultat : L'État est enfin au service des citoyens, conformément à la vision djimbiliste.
2. Coopération Intra-Africaine (Modèle "Djimbila-Net")
L'État réingéniéré ne s'isole pas, mais propose son modèle institutionnel et technologique (le SIUM et la plateforme fiscale) à d'autres nations africaines.
• Création d'une Norme : Ces nations forment un réseau d'États aux institutions compatibles et transparentes (le "Djimbila-Net").
• Conséquence Économique : Cela facilite l'harmonisation réglementaire, les échanges commerciaux intra-africains et la création de projets de développement conjoints, surpassant les mécanismes de coopération traditionnels.
3. Exportation de la Dignité et de la Prospérité
L'efficacité et la prospérité générées par l'autonomie institutionnelle et la lutte contre la corruption transforment la perception de l'État. L'Afrique devient un modèle d'innovation politique, concrétisant la vision ambitieuse de Victor Djimbila Kazadi : faire du continent un « paradis du 21ᵉ siècle ».
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En Résumé
La réingénierie djimbiliste est un cycle en trois étapes :
1. Rupture Idéologique : Couper le cordon avec les modèles extérieurs.
2. Révolution Technologique : Utiliser le mobile et la numérisation pour automatiser la fonction publique et garantir la transparence.
3. Renaissance Panafricaine : Devenir un pôle d'attraction et de coopération pour les autres États africains, prouvant la supériorité d'une solution endogène et technologique.